Couche raster des plus hautes eaux connues reconstituées sur le val de Blois - rive gauche (crue la plus haute : 1856), sur le val de la Chaussée-Saint-Victor (crue la plus haute : 1866 à l'amont de la levée de la Tillière, 1856 à l'aval) et sur le val de Blois - rive droite (crue la plus haute : 1856), obtenue à partir de l'interprétation de repères de crue, de documents anciens et de considérations hydrauliques. - version 2
Niveau d'aléa en zone inondable issu des atlas des zones inondables de la vallée de la Loire Moyenne. Les aléas déterminent un zonage en fonction de la gravité du risque d'inondation (de 1 fort à 4 faible). L'enveloppe maximale des aléas ne correspond pas exactement à la carte des Plus Hautes Eaux Connues (PHEC) car elle prend en compte le risque d'une crue plus importante ou d'autres circonstances particulières. La carte d'aléa ne constitue pas en elle même un document réglementaire nouveau qui viendrait s'ajouter à ceux qui s'appliquent déjà. Aussi, si la carte des aléas contient des éléments d'information proches des documents réglementaires existants (type PPRi), il peut arriver que leurs contenus présentent certaines différences.
Lignes isocotes (égale altitude, intervalle de 0.5 m) des plus hautes eaux connues reconstituées sur le val de Blois - rive gauche (crue la plus haute : 1856), sur le val de la Chaussée-Saint-Victor (crue la plus haute : 1866 à l'amont de la levée de la Tillière, 1856 à l'aval) et sur le val de Blois - rive droite (crue la plus haute : 1856), obtenue à partir de l'interprétation de repères de crue, de documents anciens et de considérations hydrauliques. Elaboration des lignes isocotes à partir de la donnée raster. Calcul réalisé sur la dalle couvrant l'ensemble du secteur d'une part, et sur chacun des secteurs reliés hydrauliquement parlant (amont - aval) d'autre part (avec une suppression a posteriori des scories sur ces dernières données, pour usage plus aisée en cartographie).
Enveloppe des crues décennales sur la Loire, déterminée à partir de données historiques. L'enveloppe de la crue décennale est la zone inondée par une crue qui a 1 chance sur 10 de se produire au cours d'une année.
Les altitudes reconstituées des Plus Hautes Eaux Connues (PHEC) sont les cotes maximales atteintes lors des anciennes crues, notamment celles de 1846,1856 et 1866 en Loire moyenne et celles de 1843 et 1910 en Basse Loire. Les altitudes sont exprimées dans le système de Nivellement Général de la France (IGN69). Ces données correspondent à la version numérique de la version 1990-1995 réactualisée en 2000 des plus hautes eaux connues. Une reprise de ces données est en cours depuis 2011.
Enveloppe des crues décennales et centennales sur la Loire moyenne et la Loire aval du Bec d'Allier à Nantes. Cette enveloppe est déterminée à partir de données historiques. L'enveloppe de la crue décennale est la zone inondée par une crue qui a 1 chance sur 10 de se produire au cours d'une année. L'enveloppe de la crue centennale est la zone inondée par une crue qui a 1 chance sur 100 de se produire au cours d'une année.
Isocotes des plus hautes eaux connues (PHEC) reconstituées sur le val d'Orléans rive gauche (crues les plus hautes : 1856 et 1866), sur le val de Bou (crue la plus haute : 1866), sur le val de la Bouverie (crue la plus haute : 1856), sur le val d'Ouzouer aval (crue la plus haute : 1856), obtenue à partir de l'interprétation de repères de crue, de documents anciens et de considérations hydrauliques.
Couche raster des plus hautes connues reconstituées sur le val d'Orléans rive gauche (crues les plus hautes : 1856 et 1866), sur le val de Bou (crue la plus haute : 1866), sur le val de la Bouverie (crue la plus haute : 1856), sur le val d'Ouzouer aval (crue la plus haute : 1856), obtenue à partir de l'interprétation de repères de crue, de documents anciens et de considérations hydrauliques.
Couche raster des hauteurs de submersion provoquées par les plus hautes connues reconstituées sur le val de Tours (crues les plus hautes : 1856 et 1866), en rive droite de la Loire (crue la plus haute : 1856) et en rive gauche du Cher (crue la plus haute : 1856), sur la val de Husseau (crue la plus haute : 1856) obtenue à partir de l'interprétation de repères de crue, de documents anciens et de considérations hydrauliques, et à partir d'une topographie haute résolution et haute précision obtenue par laser aéroportée.
Représentation vectorielle des hauteurs de submersion pour l'inondation provoquée par les plus hautes connues reconstituées de la Loire sur les vals de Cisse, Chargé et Amboise.