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  • http://www.hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr/?Les-aleas-miniers-dans-les-departements-du-Nord-et-du-Pas-de-Calais

  • Le risque sismique est présent partout à la surface du globe, son intensité variant d’une région à une autre. La politique française de gestion de ce risque est fondée sur la prévention : information du citoyen, normes de construction (afin que les bâtiments ne s’effondrent pas pendant un séisme), aménagement du territoire, amélioration de la connaissance de l’aléa et du risque sismique, surveillance sismique, préparation des secours et prise en compte du retour d’expérience des crises.

  • Sur la base de l'analyse des caractéristiques des masses d'eau* littorales et côtières, un programme de surveillance et d'acquisition de données sur l'ensemble des masses définies a été établi.Suivi de l'état écologique : le phytoplancton : un indicateur phytoplancton est en cours d'élaboration et comprend trois sous-indicateurs : la biomasse, l'abondance et la composition du phytoplancton le benthos* : le suivi concerne la végétation (macroalgues) et la faune benthique* (macro invertébrés) et est assuré par le réseau Rebent DCE* Manche coordonné par l'Ifremer. les éléments physico-chimiques : les paramètres physico-chimiques sont considérés comme des paramètres de soutien et d'interprétation des paramètres biologiques. Les éléments suivis sont l'oxygène dissous, la température, la turbidité, la salinité et les nutriments.

  • Les cartes de zones inondables sont des outils cartographiques de connaissance des phénomènes d’inondations susceptibles de se produire par débordement des cours d’eau, ruissellement ou submersion marine. A partir de la cartographie d’événements centennaux, des règles d’urbanisation (prescriptions ou recommandations) peuvent être définies par les communes ou l’Etat pour limiter l’augmentation de la vulnérabilité des territoires et d'accompagner leur développement.

  • Les cavités souterraines peuvent être d’origine naturelle ou résulter de l’exploitation passée de matériaux ou d’autres activités. Les dispositions introduites dans les codes de l’environnement et des assurances par l’article 159 de la loi n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité ont permis d’assimiler le risque d’effondrement de cavités souterraines à un risque naturel, quelle que soit leur origine mais à l’exception de celles qui résultent de l’exploitation passée ou en cours d’une mine. Ces dispositions se déclinent principalement en trois volets : la connaissance de l’aléa et l’information préventive, les études et travaux de prévention et l’indemnisation des victimes. Elles complètent les dispositions générales en matière de prévention des risques naturels majeurs applicables au risque d’effondrement de cavités souterraines (police, urbanisme, plans de prévention des risques).