La ZCR (Zone à Circulation Restreinte) de Paris a été établie par le décret n°2016-847 du 28 juin 2016 pour lutter contre les pics de pollution de l'air dûes aux particules fines comme le NO2 et le PM10.
Localisation des têtes et impacts des puits géothermiques en Île-de-France.
Communes classées selon l'arrêté du 10 juillet 2013 constatant le classement de communes en zone de revitalisation rurale.Liste publiée au JORF n°0160 du 12 juillet 2013.18 communes pour l'Île-de-France, toutes situées en Seine-et-Marne (polygones issus de BD Carto v 3.0).
Identification des enveloppes d’alerte potentiellement humides en région Île-de-France grâce à une compilation de données existantes et à l’exploitation d’images satellites.- La Classe 1 correspond à la délimitation de zones humides réalisées par des diagnostics de terrain selon des critères et méthodologie décrite dans l'arrêté du 24 juin 2008 modifié et ne contient que les informations du CBNBP : Zone humide stricte avec expertise in situ.- La Classe 2 correspond aux Zones humides identifiées selon les critères de l'Arrêté du 24 juin 2008 mais dont les limites n'ont pas été réalisées par des diagnostics de terrain (photo-interprétation) Ou Zones humides identifiées par des diagnostics terrain mais à l'aide de critères et/ou d'une méthodologie différents de celle de l'arrêté.- La Classe 3 correspond à une probabilité importante de zones humides mais le caractère humide et les limites restent à vérifier et à préciser.- La Classe 4 correspond à une Enveloppe pour laquelle on manque d'informations ou pour laquelle les données existantes indiquent une faible probabilité de zone humide. L’enveloppe de cette classe est en fait le négatif de la fusion des 4 autres classes. Pour cette raison, la Classe 4 n’est pas présente dans la couche Enveloppes d’alerte zones humides en Ile-de-France.- La Classe 5 correspond à une Enveloppe où sont localisées toutes les zones en eau : à la fois les cours d’eau et les plans d’eau extraits et révisés de la BD Carthage et la BDTopo.
Polygones des zones d’intérêt pour le développement de réseaux de chaleur en Île-de-France. Cette table permet d’obtenir les zones d’intérêt pour construire un réseau de chaleur. Ces résultats sont basés sur une étude du CETE de L’Ouest qui informe qu’en moyenne 45% de la voirie devrait représenter le futur réseau de chaleur. Un ratio MWh( consommation d’énergie totale)/M_réseau( futur réseau de chaleur) est effectué dans une grille contenant des mailles de 250m x 250m.Cette table permet de localiser les zones à fort potentiel pour la construction d’une future extension ou identifier les communes sans réseaux de chaleur mais à fort potentiel par croisement avec une carte géographique.
Polygones des zones d’intérêt pour le développement de réseaux de chaleur situées à moins d'1 km d'un réseau existant en Île-de-France.Cette table permet de localiser les mailles situées à 1 km ou moins d'un réseau de chaleur existant et à fort potentiel pour la construction d’une future extension.
Localisation des forages dans les aquifères profonds (nappes de l’Albien et du Néocomien)
La France s’est engagée à Rio, lors de la conférence sur l’environnement et le développement à mettre en œuvre l’Agenda 21 de Rio, programme d’actions pour le 21e siècle orienté vers le développement durable. Un agenda 21 local est un système de management et d’animation d’un territoire. Il débute par un diagnostic de territoire, lequel va permettre d’élaborer une stratégie à moyen terme de la collectivité territoriale. Cette stratégie doit déboucher sur l’élaboration d’un programme d’actions, programme qui aura été défini préalablement avec les habitants.Il doit répondre aux 5 finalités du développement durable :- La lutte contre le changement climatique et protection de l’atmosphère- La préservation de la biodiversité, protection des milieux et ressources- La cohésion sociale et solidarité entre territoires et entre générations - épanouissement de tous les êtres humains- Dynamique de développement suivant des modes de production et de consommation responsable.
Les bassins en déséquilibre quantitatif potentiel sont des parties de masses d’eau souterraine (carte 24) ou de bassins versants de masses d’eau de surface (carte 25) subissant des déséquilibres récurrents liés aux prélèvements et susceptibles d'affecter leur bon état quantitatif ou écologique.Le déséquilibre est estimé à partir des données de prélèvement issues des déclarations du volume annuel pour la redevance prélèvement au point de prélèvement, sur la période 2008-2012. Sur les 2 cartes, l’échelle de représentation est le bassin versant de masse d’eau de cours d’eau.Carte 24 : Parties de masses d’eau souterraineLa carte des BDQP souterrains croise 2 indicateurs :- le ratio prélèvements / recharge ;- la tendance piézométrique des secteurs de masse d’eau souterraines.Carte 25 : Parties de masses d’eau de surfaceLa carte des BDQP souterrains croise 3 indicateurs :- le débit estival (QMNA5) rapporté aux prélèvements en eau superficielle et souterraine ;- le taux de dépendance des cours d’eau aux apports des nappes ;- l’impact hydrologique des prélèvements en eau souterraine sur l’habitat piscicole.Dans les 2 cas, l’ampleur du déséquilibre est concrétisé par un indicateur global compris entre 0 et 3 :- Déséquilibre fort : indicateur = 2 ou 3 ;- Déséquilibre : indicateur = 1 ;- Pas de déséquilibre : indicateur = 0En cas d’absence de données ou de bassins alluviaux, les bassins sont affichés en « Manque de données ».Les bassins de transition sont affichés dans la catégorie « Pas de déséquilibre » (indicateur = 0).
Emprises de protection délimitées autour de certains sites géothermiques d'Ile-de-France.